Calcul m² : Simulateur de mètre carré 100% GRATUIT en ligne

Mis à jour le: 10/10/2024
Calcul m² : Simulateur de mètre carré 100% GRATUIT en ligne
Table des matières

Calculateur de mètres carrés (m²)

Entrez la longueur et la largeur de votre pièce pour calculer la surface en m² :



Notre simulateur gratuit de calcul des mètres carrés est conçu pour vous permettre de mesurer facilement la surface habitable de votre bien immobilier, en suivant les normes de la loi Carrez et de la loi Boutin. Que vous souhaitiez vendre ou louer un bien, cet outil vous aide à obtenir un calcul précis en quelques étapes simples. La surface habitable inclut certaines pièces, tandis que d’autres sont exclues en fonction des législations en vigueur.

Le simulateur en ligne applique une formule spécifique adaptée aux règles des lois Carrez et Boutin. Pour la loi Carrez, le calcul de la surface prend en compte uniquement les pièces fermées avec une hauteur sous plafond d’au moins 1,80 mètre, en excluant les murs, cloisons, escaliers, et autres éléments fixes. Cette formule vous garantit une estimation précise, essentielle pour éviter les litiges lors de la vente d’un bien. Pour la loi Boutin, les critères sont légèrement différents, car elle ne concerne que la surface habitable destinée à la location. Notre simulateur vous permettra ainsi de déterminer quelle surface est applicable selon la législation en vigueur.

Les différentes méthodes de calcul des mètres carrés

Pourquoi connaître plusieurs méthodes de calcul ?

Il est indispensable de connaître plusieurs méthodes de calcul des mètres carrés en fonction de la destination du bien et du contexte juridique. En effet, une surface habitable ne se calcule pas de la même façon pour une vente (loi Carrez) et pour une location (loi Boutin). Par exemple, pour un bien en copropriété mis en vente, la loi Carrez impose des règles strictes concernant la hauteur sous plafond et les surfaces à inclure. De son côté, la loi Boutin exclut certains espaces du calcul, comme les sous-sols et les combles non aménagés.

Les différentes méthodes de calcul influencent directement la valeur du bien immobilier. Une surface mal mesurée ou mal déclarée peut entraîner des litiges juridiques, des réclamations de l’acheteur ou une baisse de prix si une erreur de plus de 5 % est constatée après la signature de l’acte de vente.

Méthode classique vs méthode par surface au sol

La méthode classique consiste à mesurer la surface habitable d’un bien immobilier en additionnant les mètres carrés de chaque pièce, à l’exclusion des espaces non habitables comme les combles non aménagés ou les sous-sols. Cette méthode est principalement utilisée dans le cadre de la loi Carrez. Il est important de mesurer chaque pièce en tenant compte des restrictions imposées par cette législation.

En revanche, la méthode par surface au sol calcule la surface totale d’un bien sans tenir compte des critères de hauteur sous plafond ou de pièces habitables. Cela inclut des espaces tels que les garages, balcons, ou encore les terrasses. Cette méthode peut être utile dans un contexte où l’on souhaite estimer la surface brute d’un bien, mais elle n’est pas conforme aux critères des lois Carrez ou Boutin, qui se concentrent sur les surfaces habitables.

Quels sont les différents types de surfaces à connaître ?

Différence entre la surface habitable et la surface loi Carrez

La surface habitable, définie par l’article R.111-2 du Code de la construction et de l’habitation, correspond à la surface des pièces destinées à l’usage quotidien, comme les chambres, les salons ou les cuisines. Elle exclut les murs, les cloisons, les escaliers, les gaines et les balcons. Cette mesure est cruciale pour estimer la valeur locative d’un bien immobilier.

La surface loi Carrez, quant à elle, est utilisée lors de la vente d’un bien en copropriété. Elle inclut uniquement les surfaces avec une hauteur sous plafond supérieure à 1,80 mètre, à l’exclusion des sous-sols, garages, balcons et autres dépendances. Elle est régie par la loi Carrez, qui impose au vendeur de fournir une attestation de surface dans l’acte de vente si le bien dépasse 8 m².

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Loi Boutin : Quelles sont les spécificités ?

La loi Boutin s’applique uniquement dans le cadre de la location d’un bien immobilier et se concentre sur la surface habitable. Contrairement à la loi Carrez, elle ne prend pas en compte la hauteur sous plafond, mais exclut tout de même les espaces non habitables comme les combles non aménagés, sous-sols, balcons et garages. La surface déclarée selon la loi Boutin est un critère important pour la mise en location, car elle détermine en partie le loyer et les conditions de bail.

Comment calculer les mètres carrés d’un appartement ou d’une maison ?

Étapes pour mesurer la surface habitable

  1. Mesurez la longueur et la largeur de chaque pièce en mètres.
  2. Multipliez les dimensions pour obtenir la surface en mètres carrés.
  3. Additionnez les surfaces de toutes les pièces habitables pour obtenir la surface totale du bien.
  4. Assurez-vous d’exclure les espaces non habitables, comme les combles non aménagés ou les sous-sols.

La précision est cruciale lors de ce calcul, car une erreur de plus de 5 % par rapport à la surface réelle pourrait entraîner des litiges juridiques, surtout dans le cadre d’une vente immobilière régie par la loi Carrez.

Calcul selon la loi Carrez : ce qu’il faut savoir

Le calcul loi Carrez impose de mesurer toutes les surfaces fermées d’une hauteur sous plafond d’au moins 1,80 mètre. Cela signifie que certaines zones comme les escaliers, les gaines techniques ou les cloisons ne sont pas prises en compte. Il est recommandé de faire appel à un diagnostiqueur immobilier pour garantir une mesure exacte, car toute erreur supérieure à 5 % peut donner lieu à une réduction du prix de vente ou à des litiges juridiques.

Calcul selon la loi Boutin : quelles différences ?

La loi Boutin, utilisée pour la location, exclut certains espaces comme les combles non aménagés, les sous-sols et les balcons du calcul de la surface habitable. Contrairement à la loi Carrez, elle ne prend pas en compte la hauteur sous plafond. Cette mesure est donc plus restrictive et peut influencer le montant du loyer. Il est important de respecter ces critères pour éviter toute mauvaise surprise lors de la signature d’un bail locatif.

Comment calculer la surface en mètres carrés de formes complexes ?

Astuces pour mesurer des formes irrégulières

Pour les pièces ayant des formes irrégulières, il est conseillé de diviser l’espace en zones géométriques simples (rectangles, carrés, triangles). Mesurez la longueur et la largeur de chaque section, puis appliquez la formule correspondante. Additionnez ensuite les surfaces obtenues pour obtenir la surface totale.

Pour un espace en forme de triangle, par exemple, il suffit d’appliquer la formule :
Surface = (base x hauteur) / 2. Cette technique permet d’obtenir une mesure précise, même pour des pièces de forme atypique.

Outils pour simplifier le calcul des formes complexes

Pour simplifier le calcul des formes irrégulières, il existe des applications mobiles et des logiciels spécialisés qui permettent d’obtenir rapidement une estimation précise de la surface. Ces outils utilisent des algorithmes pour adapter le calcul en fonction des spécificités du bien et des normes légales (loi Carrez, loi Boutin). De plus, des télémètres laser peuvent vous aider à obtenir des mesures précises, même dans des espaces difficiles d’accès.

Quelles sont les pièces concernées par le calcul selon la loi Carrez ?

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Pièces incluses dans le calcul de la surface habitable

Les pièces concernées par le calcul de la surface loi Carrez sont les espaces clos et couverts d’une hauteur sous plafond d’au moins 1,80 mètre. Cela inclut notamment :

  • Les chambres
  • Les salons
  • Les salles à manger
  • Les cuisines
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Toutes ces pièces doivent être entièrement fermées et habitables pour être prises en compte dans le calcul.

Pièces exclues selon la loi Carrez et la loi Boutin

Certaines pièces sont exclues du calcul de la surface habitable selon la loi Carrez et la loi Boutin. En particulier, ces lois excluent les espaces qui ne sont pas destinés à un usage quotidien ou qui ne respectent pas les critères de hauteur minimale.

Les exclusions courantes incluent :

  • Les sous-sols
  • Les garages
  • Les caves
  • Les combles non aménagés
  • Les balcons et terrasses
  • Les vérandas ouvertes ou non chauffées

La loi Boutin, utilisée principalement pour les locations, a des critères similaires mais parfois plus stricts. Par exemple, les combles non aménagés sont systématiquement exclus, même s’ils sont chauffés ou utilisés pour le stockage. Le but est de garantir que la surface habitable reflète précisément les espaces réellement utilisés pour vivre au quotidien.

Quelles sont les pièces exclues de la surface habitable ?

Qu’est-ce qu’une surface non comptabilisée ?

Une surface non comptabilisée est toute partie d’un bien immobilier qui ne peut être incluse dans le calcul de la surface habitable selon les critères définis par la loi Carrez ou la loi Boutin. Les surfaces non comptabilisées comprennent souvent les espaces qui ne sont pas directement habitables, ou qui ne répondent pas aux critères minimaux, notamment en termes de hauteur sous plafond ou d’usage.

Ces surfaces non comptabilisées peuvent tout de même avoir de la valeur sur le marché immobilier, car elles ajoutent des fonctionnalités supplémentaires au bien. Par exemple, une cave peut offrir un espace de rangement précieux, même si elle n’est pas incluse dans la surface habitable légale.

Sous-sols, garages et autres exceptions : le détail

Les sous-sols, garages et autres pièces similaires sont exclus du calcul de la surface habitable. Ces espaces ne répondent pas aux critères de hauteur ou d’usage quotidien et sont considérés comme des annexes. Cependant, ces dépendances peuvent apporter une valeur ajoutée au bien en termes de rangement ou d’espace supplémentaire. La véranda, les combles non aménagés, et les terrasses peuvent également être exclues si elles ne sont pas adaptées à une utilisation quotidienne.

Les sous-sols peuvent parfois être aménagés en espaces de vie supplémentaires, mais pour être inclus dans la surface habitable, ils doivent répondre aux mêmes critères que les autres pièces : hauteur sous plafond, luminosité, ventilation et chauffage.

Cas particulier : la véranda

Inclure ou exclure la véranda dans le calcul de surface ?

La véranda représente un cas particulier dans le calcul des mètres carrés d’un bien immobilier. Si elle est fermée, chauffée et répond aux critères de la loi Carrez ou de la loi Boutin, elle peut être incluse dans le calcul de la surface habitable. Toutefois, si la véranda est ouverte ou non chauffée, elle ne sera pas comptabilisée dans la surface habitable légale.

En fonction de son usage, la véranda peut être considérée comme un espace de vie à part entière ou comme une dépendance. Il est important de vérifier ces éléments lors d’un diagnostic immobilier afin d’éviter toute confusion lors de la vente ou de la location d’un bien.

Véranda et loi Carrez : que dit la réglementation ?

Selon la loi Carrez, une véranda peut être incluse dans le calcul de surface si elle respecte certaines conditions :

  • Elle doit être fermée et non exposée aux intempéries.
  • Elle doit avoir une hauteur sous plafond d’au moins 1,80 mètre.
  • Elle doit être chauffée et destinée à un usage quotidien.
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Ces critères garantissent que seules les surfaces réellement utilisables sont prises en compte dans le calcul de la surface habitable. La véranda peut donc ajouter une valeur supplémentaire au bien, mais uniquement si elle répond à ces exigences strictes.

Que faire en cas d’erreur de calcul de mètres carrés ?

Rectification d’erreurs après un diagnostic immobilier

Si une erreur est découverte après un diagnostic immobilier, il est possible de demander une rectification. Une nouvelle évaluation doit alors être réalisée par un diagnostiqueur professionnel pour corriger les erreurs de mesure. Les erreurs peuvent survenir dans les cas où certaines pièces ont été mal mesurées ou exclues par erreur du calcul initial.

Cette situation peut entraîner des différends lors de la vente ou de la location du bien, notamment si la surface annoncée est incorrecte. Une réévaluation permet donc de s’assurer que les données fournies aux acheteurs ou locataires sont exactes et conformes aux réglementations en vigueur.

Conséquences légales d’une erreur de calcul selon la loi Carrez

Les erreurs de calcul de la surface Carrez peuvent avoir des conséquences légales. Si la surface réelle est inférieure de plus de 5 % par rapport à celle indiquée dans l’acte de vente, l’acheteur est en droit de demander une réduction du prix au prorata de la différence. Cette mesure est prévue par l’article 46 de la loi Carrez, et elle est destinée à protéger l’acheteur contre les erreurs ou omissions lors du calcul de la surface.

Dans certains cas, une annulation de la vente peut être envisagée si l’erreur est trop importante et si elle a eu une influence déterminante sur l’achat. Les propriétaires doivent donc s’assurer que la surface Carrez est calculée avec précision pour éviter de potentielles litiges.

La liste des outils pour calculer la surface en mètres carrés

Applications et logiciels pour faciliter le calcul des surfaces

De nombreuses applications et logiciels sont disponibles pour simplifier le calcul des surfaces en mètres carrés. Ces outils permettent d’obtenir des résultats précis tout en respectant les réglementations en vigueur, notamment la loi Carrez et la loi Boutin. Parmi les logiciels les plus populaires, on trouve des applications spécialisées pour les diagnostiqueurs immobiliers, ainsi que des outils de mesure basés sur des calculs géométriques.

Les applications mobiles sont particulièrement pratiques pour les professionnels de l’immobilier ou pour les particuliers souhaitant vérifier la surface de leur bien. Elles permettent de calculer automatiquement les mètres carrés en fonction des dimensions fournies, tout en prenant en compte les critères des différentes lois applicables.

Les appareils de mesure recommandés pour des résultats précis

Pour obtenir des résultats précis, il est recommandé d’utiliser des appareils de mesure professionnels comme les télémètres laser ou les mètres rubans. Ces outils garantissent une précision optimale et sont indispensables pour les diagnostiqueurs immobiliers. Un télémètre laser permet de mesurer rapidement et avec une grande exactitude la surface des pièces, en s’assurant que toutes les dimensions sont correctement prises en compte.

Les appareils de mesure sont souvent utilisés en complément des logiciels de calcul pour garantir que la surface indiquée est conforme à la loi Carrez ou à la loi Boutin. Il est donc fortement conseillé d’utiliser ces outils pour éviter les erreurs et les complications lors de la vente ou de la location d’un bien immobilier.

Image de Ichaï Lahmi
Ichaï Lahmi
Diagnostiqueur immobilier professionnel certifié et associé chez Heydiag. Ishaï vous informe surtout les diagnostics immobiliers obligatoires pour la vente ou pour la location pour notre société de diagnostic opérant à Paris et en Ile-de France.